Les 100 ans de Jo Privat au Lou Pascalou!
Ah ! La « belle et bonne vie » qu’on menait entre Belleville et Montmartre à l’époque où la valse musette faisait chavirer les cœurs et gambiller la vie ! De tous les artistes du « piano du pauvre » monsieur Jo – moitié voyou, moitié aristo -, vrai fils du pavé parisien, était le meilleur. Sous ses doigts […]